J'ai remué ciel et terre pour satisfaire un des rêves de Gégé: assister à une corrida. On a sauté dans le train pour Bayonne en fin de matinée, prêts pour le grand spectacle de 18 heures.
Mais avant, petite déambulation dans les rues de la ville.
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Le marché municipal |
LES RUES COMMERÇANTES ANIMÉES
LA CATHÉDRALE Ste MARIE ET SON CLOÎTRE
LE JARDIN BOTANIQUE
ARRIVÉE AUX ARÊNES
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Les arênes commencent à se remplir |
Petit spectacle de castagnettes pour faire patienter le public
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La corrida ne va pas tarder... Les gradins se sont bien remplis. |
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L'orchestre |
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Un chanteur |
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Et la parade (le paséo) entre dans l'arêne |
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Les coulisses avant l'entrée en piste de la première bête |
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Pas d'explication ... Tout est marqué sur le panneau. |
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Au début, le but du jeu est d'exciter au maximum ce pauvre taureau et de le faire courir pour le fatiguer.
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Première partie ( tercio de pique): le cavalier est muni d'une lance et doit par 2 fois toucher le taureau sur la nuque.
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Son travail accompli, le cavalier s'en va. |
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Deuxième partie (tercio de pique des banderilles) . Il vaut mieux être sportif!!! |
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Enfin, lors du troisième tercio (la mise à mort proprement dite), le matador, après une faena, une série de passes exécutées avec sa muleta, met à mort le taureau par l'estocade portée avec son épée. |
On ne vous montrera pas la fin de chaque corrida. Au total, 7 taureaux ont été mis à mort. Et la fin pour chacun d'eux a été vraiment très pénible à supporter pour nous. Une tradition bien barbare!! Les initiés, eux, ont eu l'air d'apprécier fortement. A chacun ses goûts!!!
La journée s'est terminée par une très longue marche vers la gare. Les bus étaient tous réquisitionnés pour le feu d'artifice de Biarritz.
Et à la gare surprise!!! Le train avait 30 minutes de retard. Après un bon plat de pâtes pris dans un petit restaurant dans le quartier, enfin dans le train. Et Gégé n'attend pas le retour sur Joviline pour se glisser dans les bras de Morphée.